Suite à la présentation par le Père Ravier de saint Ignace et l'enseignement du catéchisme, dans nos précédents numéros, nous sommes heureux de pouvoir vous proposer la position d'une catéchète d'aujourd'hui. Les temps ont change, l'aventure reste aussi passionnante.
Dès sa conversion, en 1521, nous avons vu Ignace soucieux de mettre la parole de Dieu à la portée des petits. L'inquisition lui oppose la nécessité de faire des études de théologie pour pouvoir parler sans risque des vertus et des vices. C'est pour satisfaire à ces exigences qu'il « monte » à Paris, en 1528.
Catéchiste ? Voici un aspect de saint Ignace de Loyola qui est peu connu. Et pourtant il est fondamental, si l'on veut ne pas faire de contresens sur ses grandes entreprises.
Vous êtes éducatrice auprès d'enfants maghrébins défavorisés dans un centre d'économie sociale et familiale. Et votre travail vous fournit, je crois, des sujets d'inquiétude.
Bienheureux les artisans de paix : de nombreux chrétiens redécouvrent aujourd'hui l'urgence de cette béatitude, y compris dans sa dimension politique.
Au mois d'avril dernier est paru aux Editions du Cerf un livre au titre accrocheur, la Politique de saint Ignace de Loyola. L'analyse sociale.
Cet article reproduit une conférence faite le 3 mars 1985 à l’Institut de théologie orthodoxe de Paris (Institut Saint-Serge), au cours d'une réunion publique. Le titre et les intertitres sont de la rédaction du SOP, Bulletin d'information de l’Eglise Orthodoxe, qui a publié ce texte dans son n ' 97, d'avril 1985.
Sandrine a dix-huit ans. Elle participe à un groupe de catéchèse dans son lycée. Ce matin, sa question surgit, inattendue.
Devenir un homme libre, accéder à une véritable souveraineté : tel est l'enjeu de toute vie humaine. Le domaine est trop vaste pour être embrassé d'un seul regard ; force est donc de choisir.
On peut donner l'existence ù son semblable par la manière de lui parler. On peut la lui donner plus encore parla manière de l'écouter.
Prêtre de la Mission de la Mer, naviguant depuis quinze ans, Roland Doriol envoyait pour Noël à ses amis, la lettre suivante. Pour des raisons évidentes, nous la reproduisons telle quelle, sans inutile sous-titre.
Félix Ali Tondi, Victor Mamoudou Harouna et André Welendé sont des Songhaï nigériens originaire du Gorouol. Le premier est gérant de coopérative, le second chauffeur de taxi et le troisième agriculteur.
Ces vers sont extraits d'un poème de Benjamin Fondarre, qu'il ne put finir, car le convoi l'emmenait à Auschwitz. Pourquoi, voulant parler de vocation, avoir choisi un tel texte ! Ce n'est pas très gai ! De plus je suis née après le génocide ! Alors, pourquoi ?
De voyage en voyage, Jean-Paul II, pèlerin de l’Europe, rappelle sans cesse à nos peuples leur histoire : « Souvenez-vous de vos origines spirituelles ! Souvenez-vous de vos racines spirituelles ! »
« La conscience de l’Europe est née en pèlerinage », a écrit Goethe. Et le christianisme est sa langue maternelle. Les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, de Rome ou de Czestochowa, qui étaient des Latins, des Germains, des Celtes, des Anglo-saxons ou des Slaves, marchaient ensemble et partageaient la même foi.
Je me souviens de Gisèle, petite fille de 8 ans, ayant une cardiopathie congénitale complexe. Hospitalisée depuis dix jours, elle me suivait partout. Je tremblais par fois en la voyant se cyanoser à force d’arpenter le long couloir du service.
Bien sûr, nous tentons de référer notre vie quotidienne à l’Evangile, dans l’alternance des moments de lumière entrevue et des périodes de vide où le fardeau quotidien pèse plus lourd. Mais n’est-il pas prétentieux de croire « annoncer l’Evangile » par cette vie de père et mère de famille ordinaires, engluée par tant d’aspects dans les compromissions du « monde » ?
Pour la plupart des exilés, la religion reste le lien le plus fort d’appartenance à leur peuple, même s’ils ont embrassé la religion du pays d’accueil.
Sara, d’origine algérienne, arrisée au foyer d’Anne et Marc, est devenue leur fille adoptive et la soeur de Pierre Olivier, lui-même reçu de Colombie il y a quatre ans.
Peut-être parce que je n’éprouve pas grand chagrin, le défunt étant le beau-père d’une amie. Je ne le connaissais pas, je suis là pour être près de mon amie.
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