Pour beaucoup de chrétiens, surtout parmi ceux qui prennent au sérieux le commandement du Seigneur : « Soyez parfaits comme le Père céleste est parfait », la recherche de « la perfection de la charité » (Vatican II) et les soucis de la vie quotidienne sont peu compatibles.
C'est la question que l'on peut poser à Philippe Bouhours, agrégé en Sciences Sociales et docteur en Économie Appliquée, à la lecture de la conclusion de son dernier ouvrage, La Monnaie-finance (1).
Mais de quoi Rome se mêle-t-elle donc ? Pourquoi continue-t-elle d'interdire certaines méthodes contraceptives ? De quel droit nos prélats romains se permettent-ils de donner un avis général et tranchant sur ce qui touche à l'intimité et à la liberté de chaque couple ?
Etes-vous marié(e) ? Vivez-vous avec quelqu'un ? Avez-vous des enfants ? , Non, je suis célibataire. La plupart du temps, l'affirmation de son célibat est précédée d'une négation.
Ce jour-là, en mars dernier, je suis invitée à parier de la profession de journaliste à des élèves de 3e d'un collège privé de la banlieue parisienne.
Eclatement ! C'est par ce mot ambigu que l'on a pris l'habitude de parler de l'une des grandes mutations de comportement de notre société.
Ce sujet, en France particulièrement, est souvent escamoté ou renvoyé à des considérations très générales ou très théoriques quand il est abordé.
Sidathon, campagnes de publicité, journée mondiale sur le sida... En moins de dix années, ces quatre lettres, sida, qui, dans un ordre ou dans un autre (AIDS, en anglais), signifient toujours le même terrible symptôme immunodéficitaire acquis, ont envahi, en caractères rouges et en slogans tonitruants, les Une des journaux et les murs de lycées.
« Vous ne pouvez servir à la fois Dieu et Mammon » (Lc 16, 13). Mammon, l'idole, est souvent confondu avec l'argent. Ainsi, on dit que l'argent est « pourri », « sale », « pervers », « corrupteur », « menteur »,... lui attribuant les défauts qui n'appartiennent qu'aux hommes.
Anne enfile l'alliance au doigt de Jean : « Je te donne cet anneau, signe de notre amour et de notre fidélité ».
Réunion de rentrée de notre petit « comité de rédaction » pour cette rubrique
Une fois devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant ... Montrez-vous des petits enfants pour la malice, soit, mais, pour le jugement, montrez-vous des hommes faits (1 Co 13,11).
L'auteur, qui a été longtemps éducateur de jeunes, veut nous faire percevoir comment comprendre cette génération qui nous étonne et nous désarçonne souvent.
Le temps est-il une pièce de musée ? Malgré mon jeune âge, j'en ai parfois l'impression. L'instantané est aujourd'hui roi. En cuisine, il suffit de rajouter de l'eau, de passer quelques secondes au micro-ondes et de manger, seul, sur le pouce.
Objet de la prière de Paul pour la petite communauté de l'Église de Philippes, le discernement apparaît comme un don de perspicacité pour assumer la mission reçue.
On trouvera ci-dessous le texte d'une causerie que le Père J.C. Dhôtel avait faite récemment aux membres de la Communauté Vie Chrétienne de la région dont il avait été l'accompagnateur ; ces pages nous semblent bien illustrer la voie pour suivre le Christ à l'école de St Ignace qu'il nous enseignait.
Au coin de la rue, la vitrine d'une pharmacie arbore deux créatures de rêve : l'une et l'autre semblent vivre une perpétuelle adolescence, hors du temps.
La pratique religieuse est moribonde. Vive les pratiques spirituelles Qu'on le déplore ou qu'on s'en félicite, nous vivons aujourd'hui une époque inédite. Jamais, dans l'histoire de notre pays, les modes d'accès au spirituel n'ont été aussi multiples, libres et immédiats.
Bientôt la rentrée... Avec, pour certains, cette interrogation lancinante : Où vais-je inscrire Arthur en sixième ? Dans les quartiers, à la sortie des écoles, autour des tables d'amis, la rumeur court : Au lycée Jules Ferry, l'absentéisme des professeurs est hallucinant.
Depuis son inculpation pour crime contre l'humanité jusqu’à aujourd'hui, Paul Touvier a suscité nombre de débats, de réflexions, de polémiques ; récemment le rapport d'une commission d'historiens présidée par René Rémond a été remis au Cardinal Decourtray, élucidant le rôle joué par des responsables de l’Eglise catholique qui avaient accueilli et soutenu Paul Touvier dans ses démarches.
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